Tout ce qui est nouveau fait a priori peur,
et c’est normal !
Au début, les gens ne voulaient même pas utiliser les cartes bancaires, alors ils avaient peur de commander dans des magasins en ligne sur internet.
Aujourd’hui la croissance des ventes sur
internet est en constante progression, chaque année des records sont battues.
Maintenant, beaucoup d’entre nous se passionnent pour le bitcoin, le crowdfunding et beaucoup d’autres mots obscurs du même genre que nous pouvons rencontrer en ces temps.
Avec de telles choses effrayantes au départ, certaines préoccupations sont nées au sujet du crowdfunding, ce modèle de financement utilisé par des sociétés innovantes a causé une grande vague de doutes et d’incompréhension dans les médias et la communauté Internet.
Et pour arrêter d’avoir peur et tomber « amoureux » du financement participatif, vous devez comprendre de quoi il s’agit :
Ces sociétés qui font appel au « Crowdfunding » ou « Crowdinvesting » sont très souvent des Start-ups.
Ces sociétés pourraient faire appel aux banques!
J’ai déjà eu cette réflexion de la part de plusieurs personnes, sauf que ces gens n’ont aucune notion des besoins d’une société qui a de grandes ambitions à développer une technologie souvent extrêmement coûteuse.
Avez-vous déjà tenté de demander un crédit à votre banque ?
Savez-vous quelles sont les garanties que demande une banque ?
Ce sont des dizaines voir des centaines de maisons qu’il faudrait hypothéquer pour garantir de tels investissements.
Quand on voit la frilosité des banques à vous prêter un peu d’argent pour une voiture ou une maison, alors imaginez ce que cela représente si vous arrivez avec plein d’idées la tête et commencez à parler de conquérir le monde avec votre invention…
Si ces sociétés font appel au financement participatif dit financement populaire, ce n’est pas par hasard !
Un projet mais dans quel domaine ?
L’objectif des ingénieurs travaillant sur des technologies innovantes est de créer une alternative «verte» et plus efficace que les procédés conventionnels.
Pourquoi «verte », me direz-vous ?
Et bien parce qu’il est temps de sauver la planète et que, sans être écologiste dans l’âme, il s’agit aujourd’hui de miser intelligemment dans du matériel et des technologies qui vont nous « élever » et non contribuer à l’extinction de notre monde par la négligence de l’Homme.
Vous pouvez étudier les détails des technologies proposées, tel que le transport de second niveau ou les moteurs électriques à induction, deux financements participatifs très sérieux que je préconise sur ce blog.
Des avis au sujet de ces projets ont déjà été donnés, par des gens très compétents dans le domaine du développement urbain par exemple, des journalistes spécialisés, des ministres etc. Cela concerne des enjeux mondiaux.
Des « Business Angels »
Ces sociétés sont financées à travers un réseau de « Business Angels »* provenant de plus de 200 pays du monde soit directement ou par le biais du financement participatif.
Ces investissements sont réalisés pour développer les technologies, pour exécuter les projets l’on a besoin d’argent, le financement est requis pour les bureaux, les salaires des ingénieurs, la réalisation des recherches et les tests, puis la commercialisation.
Selon le domaine, une quantité de fonds différent est nécessaire, en réalité dans les technologies de l’information, par exemple, les plages de tests ne sont pas nécessaires ni dans le commerce de détail, là on n’achète pas des technologies modernes le plus souvent coûteuses ni des équipements complexes.
Par conséquent, chaque start-up choisit ses moyens de lever des fonds en fonction de ses objectifs et de ses opportunités.
Par exemple, les investissements en capital risque, qui sont si populaires parmi les start-up, ne sont pas suffisants pour des grands projets.
C’est pourquoi il est fait appel au « peuple » pour lever un maximum de fonds.
Capital risque à court ou long terme ?
Selon une enquête annuelle de l’industrie russe du capital risque «MoneyTreeTM » :
le navigateur du marché du risque pour 2016, publiée par PwC et RVC, dit que le marché des entreprises en Russie a diminué de 29% en 2016 par rapport à l’indicateur de l’année 2015 et s’élève à 165,2 millions USD.
À titre de comparaison par rapport à ce chiffre, dans le cas de la technologie Skyway citée sur ce blog, environ 250 millions de dollars sont nécessaires pour son développement, ce qui représente beaucoup plus que l’ensemble du marché annuel du capital risque en Russie.
Mais même si l’entreprise s’était donné pour mission d’attirer tous les investisseurs providentiels et les investisseurs en capital risque, elle ne l’aurait certainement pas fait, car aujourd’hui l’investissement dit populaire est bien plus intéressant.
La raison pour laquelle les investisseurs à risque ne sont pas intéressés par de longs projets stratégiques, c’est que l’objectif de ces investisseurs est d’acheter une part de marché et de vendre à la hausse le plus rapidement possible.
Ces projets ne peuvent pas donner de telles opportunités rapidement, car en dehors de l’argent, elles ont aussi besoin de temps.
Mais pour les projets innovants, de nouvelles opportunités de financement apparaissent déjà, telles que le Crowdfunding ici mentionné.
Le financement participatif ou crowdinvesting
Les possibilités de ce principe sont très appréciées et la tendance à «l’investissement des particuliers» est mieux perçue dans l’économie numérique.
Dans le langage courant on parle maintenant plus volontiers d’ICO et de crypto-monnaies.
Le principe du financement participatif tel qu’il est proposé dans les deux opportunités auxquelles je fais référence ici est basé sur ce que l’on appelle des « obligations convertibles ».
Ainsi on peut être très inspiré par le fait qu’une ICO ouvre la possibilité aux personnes d’investir dans des start-ups.
On peut faire un parallèle avec les cryptos monnaies, car le principe est quasiment le même, le côté volatil en moins pour le financement participatif.
Lorsque vous achetez une crypto-monnaie, c’est en principe parce que vous avez bon espoir que celle-ci va prendre de la valeur afin de bénéficier après un certain temps plus ou moins long d’une plus valu intéressante.
Les financements participatifs que je suggère sur ce blog sont basés sur ce schéma d’achat de parts d’une compagnie qui envisage selon un plan précis une introduction en bourse dans quelque temps.
L’espoir et la vision de cet objectif financier est similaire aux crypto-monnaies sauf que le plus souvent les sociétés en question dans le crowdinvesting produisent du matériel physique et non de la spéculation virtuelle sur internet.
Là où on parle bien souvent de garanties à apporter dans les projets proposés en financement participatif, pas besoin d’expliquer en long, en large et en travers que c’est un peu plus sécuritaire.
Le risque zéro n’existe pas ou alors il ne faut accorder de confiance qu’à votre banque, qui va vous rémunérer 0,75% par an sur le livret A.
Le schéma est celui des obligations convertibles:
Les obligations convertibles sont conçues pour être converties en actions en bourse représentant à ce moment-là les capitaux propres de la société émettrice.
Dans ce cas un plafond de valorisation est donné et permet aux acquéreurs de connaitre la valeur la plus basse au moment de l’entrée en bourse (valeur au jour J à l’instant T).
La valeur, au fil du projet, des obligations change en fonction de ce que l’on appelle l’escompte (coefficient multiplicateur entre le prix d’achat en $ ou € et le nombre d’obligations obtenu pour ce prix)
Les obligations convertibles sont fréquemment utilisées par les start-ups pour lever des capitaux.
L’une des raisons pour lesquelles les entreprises utilisent des obligations convertibles pour lever des capitaux (plutôt que de vendre des actions directement) est qu’il est possible de lever des fonds en émettant un billet convertible sans établir d’évaluation pour la société.
Au lieu de cela, cette question d’évaluation est suspendue ou évitée jusqu’à une date ultérieure.
Mais ce n’est pas toujours le cas, pour Skyway par exemple une évaluation de la valeur de la technologie a été donné par un cabinet indépendant en 2013 pour une valeur de 400 milliards de $
Ces explications sont importantes à comprendre, je m’efforce donc à essayer de vous expliquer comment ces business fonctionnent dans le sens strictement financier.
Deux cas de figure :
L’investisseur (donc vous) devient créancier : le prêt est accordé pour 3 ans avec un taux de 4% du montant investi. En vertu du contrat de prêt, l’emprunteur (Skyway) doit rembourser le prêt (cette option est moins risquée pour le partenaire). L’obligation convertible ne doit pas être signée dans ce cas et l’argent que vous avez investi vous sera restitué avec les intérêts.
L’investisseur (vous) signe le contrat qui convertit le prêt en actions de la société et devient dans ce cas non son créancier mais son cotitulaire d’intérêt avec toute sa compréhension du risque d’entreprise, mais en cas de succès il peut compter sur les revenus souvent conséquents.
Une fois les obligations converties en actions la compagnie effectue, après la clôture de ses différentes étapes, une IPO (introduction en bourse).
Vous pourrez à ce moment-là vendre vos actions. la valeur de chaque action correspondra au cours du jour de la vente selon la fluctuation de la bourse.
Si vous vous séparez de vos actions, vous ne percevrez de retour sur investissement qu’une seule fois au terme de cette vente.
Par contre si vous gardez ces actions et que la compagnie dont vous êtes ainsi copropriétaire réalise des bénéfices (1 an au moins après l’entrée en bourse) vous percevrez régulièrement chaque année des dividendes (partage des bénéfices entre l’ensemble des actionnaires au prorata de la quantité d’action en votre possession)
La formule magique !
L’association du marketing relationnel et du financement participatif.
Le mot « investisseur » semble lui aussi faire peur d’une certaine façon !
Trop de gens pensent qu’il faut avoir beaucoup d’argent pour investir dans un grand projet.
C’est une vision erronée du financement participatif tel que je le présent ici; une option (et j’insiste sur le mot « option ») peut permettre a tout à chacun de faire en sorte que vos investissements soient tout ou partie remboursés en percevant des commissions d’affiliation proposées par les dits projets en crowdfunding.
Attention de ne pas confondre ce système avec une arnaque pyramidale comme c’est bien trop souvent le cas pour les francophones qui ne sont pas aussi ouvert au marketing de réseau que les Anglo-saxons.
En effet les retours sur investissements dans des obligations convertibles (parts de la compagnie) en actions en bourse, plus tard dans le temps, ne rapporterons que lorsque la compagnie fera des bénéfices (dividendes) ou si vous revendez les actions sur le marché boursier (une fois en bourse, pas avant).
Pour cette raison le principe du financement participatif associé au MLM peut rapidement rapporter des commissions utilisables pour financer les achats de parts ou encaissable (dans votre poche).
Dans ce cadre vous devenez un entrepreneur et vous devez respecter les règles d’immatriculations, de formation dans la finance et de déclarations fiscales obligatoire en vigueur dans votre pays.
C’est cependant ainsi que vous arriverez à devenir un investisseur sans disposer d’une fortune, tels que le mot « investisseur » vous le laissait croire au début.
Ces business de financement participatif sont donc accessibles à vous aussi, à condition de ne pas imaginer qu’une simple inscription va vous rendre riche.
Juste s’inscrire sur un de ces sites sans passer à l’action n’est de loin pas suffisant.
Beaucoup de gens ont des idées de business, mais il y en a peu qui décident de faire réellement quelque chose immédiatement, pas demain, pas la semaine prochaine, mais aujourd’hui.
Un vrai entrepreneur est un acteur, pas un rêveur, alors passez à l’action, c’est aussi simple que ça !
Aujourd’hui vous pouvez découvrir les deux projets basés sur le Crowdinvesting, qui apportent des garanties non négligeables pour vous assurer un retour sur investissement correct.
Découvrez mes business en cliquant sur les liens ci-dessous :
*(Business angel => investisseur providentiel – c’est une personne physique qui investit à titre individuel au capital d’une entreprise innovante)